Après un peu plus d’une dizaine d’heures d’avion et une heure et demi de retard, le pied est posé à Hong Kong et au vu de l’image ci-dessus, il m’a même été autorisé à passer derrière le mur « Imigration » de l’aéroport.
La mission suivante fût de trouver mon hotel. Après un bref regard sur le cartoguide (merci Sophie) le meilleur choix me paraît être de prendre le « Airport Express » et de finir à pied depuis la station Hong Kong qui a le bon goût d’être sur la bonne île. Cette dernière étape ne devrait pas poser trop de problème, sur le plan cela représente environ 1,5km.
Airport Express atteint, tout est très efficace et je commence à être assez impressionnée de la passion pour la propreté ici, tout est en train d’être lavé en permanence. Le train continue sa route et sort enfin de l’aéroport pour proposer une première vue de la ville. Beaucoup d’eau et beaucoup de tours immondes : au bord de l’eau ont été érigées des tours à base circulaire, peu larges et très hautes (j’espère accompagner ces propos d’une photo d’ici peu). La première station passée, on entre un peu plus dans la ville. Vue assez étonnante d’un mélange de verdure avec quelques petites montagnes en fond et des routes partout, des grands immeubles et des grues, plein de grues, au moins je vais pas être dépaysé, tout à l’air en travaux…
Arrivée à Hong Kong (la station) et enfin premier pas dans les rues de Hong Kong (la ville). C’est à ce moment là que je réalise a quel point le choix d’utiliser mes jambes pour rejoindre l’hotel était une mauvaise idée. Pour vous donner une idée, rejoindre la station de métro la plus proche de l’hotel à pied revient à peu près à se rendre dans une très grande surface à pied : rien d’impossible mais c’est avant tout prévu pour les voitures!
Heureusement, sur la dernière ligne droite, j’ai pu apercevoir un morceau de la ville un peu plus à échelle humaine. Mission du moment, trouver un truc à manger et utiliser les chaines internationales c’est tricher!